En manque ?

Il m’arrive de regarder mes photos avant le grand-saut dans l’inconnu et je m’interroge ? 🤔

En manque du défrisage ? Ma réponse est catégorique !

La question revient implicitement ou explicitement : "Est-ce que ça me manque, le fait de défriser mes cheveux ?" La curiosité est légitime, surtout après un long parcours de transition. Eh bien, je ne vais pas faire durer le suspense, je vais même vous "spoiler" : NON, absolument pas !

C'est une affirmation que je fais avec conviction, après avoir cheminé et redécouvert mes cheveux naturels.

La liberté de choisir, la satisfaction de l'authentique

Aujourd'hui, je me trouve plutôt pas mal avec ma chevelure naturelle. Plus que ça même : je me sens pleinement moi-même. Et la beauté de cette liberté, c'est que je me suis rendu compte que rien ne m'empêche de lisser mes cheveux si l'envie me prenait (avec toutes les précautions d'usage, bien entendu, pour protéger ma fibre capillaire).

Je pourrais leur donner cette allure lisse, le temps d'une soirée, d'un événement, juste pour une parenthèse. Mais la vérité, c'est que cette envie est loin de me venir spontanément. C'est devenu une option, non une obligation.

Un quotidien sans crainte, une chevelure apaisée

L'état de mes cheveux actuels me satisfait amplement, bien au-delà de toute nostalgie du défrisage. Ils sont :

• Doux : Finie la rigidité et la sécheresse post-défrisage.

• Légers : Ils vivent, ils respirent, ils ont du mouvement.

• Sains : Je les nourris, je les hydrate, et ils me le rendent bien.

  
  

Mais surtout, et c'est le point crucial, ils me permettent de vivre sereinement, sans avoir cette crainte mensuelle des brûlures insupportables du cuir chevelu dues au défrisage. Cette anxiété, cette douleur, ce n'est plus ma réalité.

Alors non, il n'y a pas de regret. Il n'y a pas de retour en arrière possible, ni même souhaitable. Mon chemin vers le naturel est un chemin de bien-être, de liberté et d'acceptation de moi-même.

Et ça, ça n'a pas de prix.